vendredi 16 septembre 2011
lundi 22 août 2011
Pas de conexion!!!
Désolé pour les lecteurs les plus assidus, nous n'avons malheureusement pas eu de connexion internet ces derniers jours. Les articles arriveront avec un peu de retard.
Sachez tout de même que cette dernière partie du voyage c'est déroulée entre le parc national de Bali Barat qui est confronté à une problématique majeur puisque la route principale dessert le port de Guilimanuk et se voit donc envahir de centaines de camions quotidiennement. Les problèmes de déchets restent omniprésents, même dans des zones aussi reculées qu'une île protégée par le parc. Et la gestion du tourisme n'est pour l'instant qu'un doux rêve (malgrès la réputation de Bali).
Nous détaillerons nos impressions dans un prochain article.
Ensuite nous sommes partis pour Lovina, ville côtière de la partie nord ouest de Bali, puis passage à Ubud, foyer de l'art et de l'artisanat indonésien.
Aujourd'hui Fred est reparti pour Jakarta où il présentera notre travail dans le parc de Bali Barat à Ibu Tino, pendant que Tom profite de sa lune de miel avec sa femme qui vient de le rejoindre.
Une page se tourne, le retour à la réalité risque d'être délicat! Photos et articles arriverons bientôt.
See you soon
jeudi 11 août 2011
Lac Toba - Lobbying à Jakarta pour le développement du peuple Batak
Cette émission a deux autres volets également disponible. C'est une petite introduction sur le caractère exceptionnel de ce lieu.
De façon moins éloigné dans le temps, c'est également le lieu de vie d'une ethnie très connue de l'Indonésie: les Bataks (à ne pas confondre avec les Batak des Phillipines, petite ethnie en danger dont il ne reste que 300 représentants). Les Bataks du lac Toba sont connus pour leur exceptionnel culture. Exceptionnel par la sophistication de leur art mais aussi et surtout connue pour son cannibalisme et sa magie.
Quelques Bataks |
Le cannibalisme a été interdit par l'ancien colon (les hollandais en 1890 mais d'après certaines recherches, cette pratique aurait fortement diminué avec l'arrivée des deux religions monothéistes.)
Sa magie est composée de 3 types: la magie protectrice (appelé magie blanche chez Harry Potter), la magie destructrice (ou magie noire) et la magie divinatoire ou oracle. La magie blanche est basée sur de fermes connaissances des remèdes à base de plantes et des énergies et esprits à l'aide d'amulettes.
Leurs maisons sont également typique.
Batak house |
Le mari du Docteur Tinoek est originaire du Lac Toba et a été professeur de foresterie durant toute sa carrière à l'Institut d'Agriculture de Bogor et le gourveneur actuel de la région de Sumatra dans laquelle se situe cet immense lac volcanique est un de ses anciens élèves.
Arrivée tôt le matin au ministère, nous avons rencontré le gouverneur, la responsable du tourisme dans la région, l'assistante du gouverneur pour le développement de cette région et Carlos. Carlos est citoyen indonésien depuis peu, il était espagnol. Blasé par la politique et les projets à l'indonésienne, il est quand même marié à une indonésienne et est l'artisan du premier festival de parapente international qui comprend une compétition internationale. Et pourquoi est-il là? Parceque les flans abruptes du lac sont d'exceptionnels zone de lancement pour les ailes. Le festival se tient en octobre et il devait faire une nouvelle présentation au gouverneur sur le projet et réaffirmer son soutien. L'opération est une réussite pour l'instant.
La matinée se prolonge. Le professeur Indyo des premiers jours de notre voyage à Bandung débarque. Il est volcanologue, il est là pour discuter volcan avec le gouverneur. Nous comprenons que les premiers mots sont une remise au point de la culture G volcanologique du gouverneur sur ce super volcan puis nous comprenons qu'il discute géothermie...
En tout cas, la caution scientifique est là.
Puis arrive le mari de Tinoek, les embrassades s'enchainent, cet homme connait tout le monde au ministère. Serait-il un des formateurs les plus appréciés et les plus connus en foresterie? La question reste en suspend.
Nous changeons de salle et arrivons dans un salon privé. Arrive alors au compte goutte 12 autres de ses anciens élèves tous disséminés dans les différents ministères indonésiens à Jakarta. Quel est l'autre point commun? Ils sont tous originaire de la région du Lac Toba et des différentes ethnies qui l'entourent.
Le diner peut commencer. Nous comprenons comme on dit dans le sud un beignet, c'est à dire rien, tout est en indonésien. Nous comprenons juste que chacun exprime ce qu'il peut faire dans son ministère comme lobbying. Les remerciements au Dc Tinoek vont bon train, ce n'est donc pas son mari qui en est à l'origine mais elle. Pourquoi ? La réponse viendra après.
the batak meeting |
Le plus amusant dans ce repas hormis la très bonne nourriture indonésienne, c'est l'observation de la réunion, chacun prend la parôle un à un, on ne se coupe pas la parole. Par contre les téléphones portables sont allumés, on répond pendant qu'un autre parle ou on est sur Blackberry messenger toute la réunion.
L'après-midi se termine après un trajet de 30min direction une petite salle de la rue vétéran de Jakarta, pas de clim, bondé(25personnes)... Quel est l'object? Le Lac Toba... décidement. Et qui nous retrouvons? Le gouverneur et Carlos ! Mais l'auditoire est différent. Je vous laisse imaginé. Un amphi international d'étudiants et de prof de sociologie, d'histoire de lettres. Pantalon velours, lunettes, style années 80, très concentré et assez facilement impressionnable avec des jolis mots philosophiques...
Mais pourquoi une telle réunion? Le classement du lac Toba au patrimoine mondial de l'Unesco est en réflexion. L'objectif était de réunir un maximum de personnes d'horizons différents en présence d'un politique important devant les représentants de l'Unesco.
Docteur Tino prend la parole 3min pour expliquer quel est son approche du tourisme, les applaudissements sont instantanés, l'auditoire est acquis. Les représentants de l'Unesco viendront la saluer car eux aussi ont été convaincu... Est-ce que l'écotourisme façon Idea ferrait des émules?
En tout cas, nous sommes des adeptes même quand on comprend rien des réunions.
Fred & Tom
lundi 8 août 2011
Une page de rêves...
C'est donc après une journée déconcertante, partagé entre l'émerveillement et l'inquiétude, que nous nous dirigeons vers le port où nous attendent le frère d'Eddy et son père. Irwan, Youssouf et Eddy sont malheureusement occupés ce jour ci et ne peuvent-nous accompagner dans la découverte des îles et spots de snorkiling du parc national. Qu'importe, nos nouveaux guides connaissent la zone comme leurs poches puisqu'ils sont natifs de l'île. Nous embarquons donc sur le bateau, munis de nos palmes, masques et tubas ainsi que de gilets de sauvetages qui ne serviront que d'oreillets lors des navigations inter-îles.
Petit tour en bateau?
Nous commençons par une visite des fonds marins proche de l'ile de Menjangan Kecil . A peine entrés dans l'eau, des centaines de poissons se ruent autour de nous et finissent par nous "gouter"! Certainement curieux de découvrir un plat occidental, ces habitants du monde marin se pressent autour de nous et ne s'écartent que de quelques centimètres lorsque nous tentons de nous échapper. Heureusement ces poissons ne font que nous chatouiller et nous finissons par les oublier lorsque nous partons à la découverte des récifs coralliens. Pour les adeptes des Walt Disneys, nous avons rencontrés tous les personnages du monde de Némo. Entre poissons clown, lune et autres striés jaunes et noirs, nous nous émerveillons de la beauté des coraux multicolore. Des bleus, rouges et blancs crème, nous ne savons plus où donner de la tête. Un moment plus tard, la notion de temps nous quittant peu à peu, nous regagnons l'embarcation en direction de la deuxième ile.
Les pilotes connaissent bien le milieu, et slalomant entre les coraux de la barrière, nous accostons à P Geleang, bordée de sable blanc et de cocotier (oui, comme dans les cartes postales!!!). Un couple d'habitants nous accueille, mais ne parlant qu'indonésien, nous les quittons rapidement pour faire le tour de l'ile. Une heure de marche au bord d'une eau frisant les 30°, nous tombons pied à aiguillons face à des petites raies magnifiquement bleu, mais terriblement dangereuse (d’après nos guides). C’est encore malheureusement sur un contraste de paradis et d’enfer que nous évoluons. Comment un endroit aussi magnifique peut il être à ce point gâché par des déchets plastiques, rejets de boites polystyrène et autres immondices de notre société de surconsommation ? Nous nous acquittons de la taxe de passage de 30 000rps (2,5€) avant de partir pour un spot de snorkiling.
...
Beau goss le Tom
Seul au monde... Enfin presque!
Java n'est pas loin...
Tous les déchets ne sont pas vilains
Passant près d’une autre jolie petite île, notre capitaine décide d’amarrer l’embarcation à un massif corallien. Une ceinture de coraux, Gosong Cemara, au milieu de la mer laisse présager d’un futur pied à terre, si l’animal en question a l’opportunité de croitre correctement les 1000 prochaines années. Cette plongée dans les fonds indonésiens laisse Fred ébahie. Il n’y à pas de déchets sous l’eau. Dans le sud de la France, les fonds marins sont jonchés de bouteilles plastiques. Pas ici. Un espoir ? Une question reste tout de même en suspend, à certains endroit il nous semble voir beaucoup de coraux morts. La question est posée au frère d’Eddy et avec quelques dessins, nous finissons par comprendre qu’il ne s’agit que du cycle naturel de la vie corallienne. En descendant plus profondément nous pouvons constater la différence de température. L’eau doit passer de 30° à 25, différence suffisamment importante pour nous empêcher de rester trop longtemps dans les abbisses indonésiens (5 mètres de profondeur). Peut importe, nous avons de quoi nous émerveiller là où nous sommes.
Juste pour le plaisir!
Si si, ils bossent... par moment... (filets de pêche)
Sur la troisième ile, P Cemara Kecil, nous croisons des touristes indonésiens. Ils quittent les lieux et nous en commençons le tour. Elle aussi est habitée par un couple qui semble réaliser quelques aménagements sur terre ainsi qu’en mer. Des barrières de pierres sont érigées face à la mer, elles doivent servir à préserver la plage du flux et reflux des vagues. Sur l’ile elle-même, nous remarquons que la majorité des végétaux ont été coupés… après être partis à la chasse aux crabes avec Ecco, nous tentons de comprendre les aménagements réalisés. Il semblerait qu’une construction pourrait voire le jour prochainement. Tom et Fred prenne la mesure de l’information, nous devons absolument trouver le moyen de préserver ce paradis terrestre contre l’appétit vorace des investisseurs. Nos cerveau sont aux starting bloques, nous solliciterons un rendez vous avec l’ambassade. Avant de partir, nous remarquons que les indonésiens sont partis en laissant leurs déchets de piques niques. Nous sommes effarés, mais devons comprendre par ce geste que les outsiders ne sont pas prêts à visiter une réserve naturelle sans avoir reçus des règles en amont.
Y a du boulot!
Allez, une petite dernière...
Nous reprenons la mer à bord du bateau rutilant, et quelques minutes passèrent avant qu’Ecco nous fasse des signes. Le temps d’arriver à l’avant du bateau, nous apercevons deux tortues de mer entrain de dévorer une sèche ! Le pilote amorce un demi-tour et le père sort une épuisette. Il récupère la sèche. Nous reprenons la « route » en direction de la première île, Menjangan Besar où nous attend une surprise. Nous accostons sur un ponton à gauche et a droite duquel sont aménagés des bassins. Des requins y sont tenus en captivité. Nous faisons le tour des bassins puis gagnons la plage où nous découvrons un programme de sauvegarde des tortues marines. Des cages sont aménagées pour y protéger les œufs. Un peu plus loin, c’est un aigle pécheur qui est en captivité. Nous comprendrons plus tard qu’il s’agit d’un aiglon sauvé d’une mort certaine par des habitants locaux. Quelques hésitations, une vérification avec Ecco… Tom se lance dans le bassin aux requins…d’abord méfiant, il finit par allonger quelques brasses avant que Fred ne le rejoigne (il fallait bien qu’un des deux reste en haut pour prendre des photos !!!).
Il est gentil le poisson!!! Hum, Fred... Tu me rejoins?
Ces gros poiscailles sont impressionnants, ils ont les yeux fendus et tranchants, oui, comme à la télé. Sauf que là, on est à quelques centimètres d’eux. Heureusement, ils sont plus intrigués par notre présence que soucieux de chercher à nous gouter comme les poissons du matin. Nous quittons le premier bassin pour rejoindre celui d’à coté ou Ecco et sont père se sont amusés à les exciter avec les morceaux de sèche piqué aux tortues. Cette fois ci c’est Fred qui descend en premier le temps que Tom fasse quelques photos.
Ces requins semblent plus curieux que les autres et tentent de nous encercler. Nous ne resterons pas longtemps, le temps d’admirer un couple de poissons clowns et nous partons pour Karimunjawa, les yeux éblouis, la tête pleine de rêves mais soucieux de ce qui pourrait arriver à ce paradis si personne ne tire la sonnette d’alarme.
A suivre...
dimanche 7 août 2011
Un rêve inquiétant...
Cà ne vient pas de google image mais du Fujifilm de Fred... |
Merci Java ! |
Eddy et Thomas dubitatif devant le système de pompage |
Les idées et les spéculations vont bon train entre nous. Nous essayons d’avoir un peu plus d’info sur la gestion de l’eau sur l’île… impossible, la barrière de la langue est trop grande entre nous, un sourire et nous revoilà partis. Direction : Trecking mangrove : un chemin de randonnée dans une mangrove. Super idée ! Nous en avions entendu parler par Peta, en effet, il a été créé sur pilotis et est un premier test du système pour les parcs. Nous passons le pont entre Karimunjawa et Kemujan (15m au milieu de la mangrove) et nous arrivons sur place et découvrons le grand problème du paysage en Indonésie, l’entreprise attributaire du marché peut tout à fait prendre des libertés avec les recommandations techniques. Résultat : un chemin sur pilotis mal fait avec des bois parfois différents pour le même usage et surtout des vis de très mauvaises qualités. L’installation a moins d’un an, et çà bouge déjà. En effet, une mangrove est une zone humide c'est-à-dire une bonne partie de l’année les pieds dans l’eau et de surcroit ici en eau salée ! Le bois choisis vient de Bornéo et est classe V et VI (imputrescible naturel et résistant à l’eau et aux sels) mais les vis n’ont pas été traitées inoxydables. Des millions de roupies partis en fumée. Deux créations nouvelles par le parc national : deux échecs, nous commençons la journée avec un constat malheureux.
La mangrove! |
Eddy et les cocotiers |
Mais où est Willson... |
Après un bon bain, nous repartons direction la plage aux dauphins… Dommage, le staff de l’ONG qui gère le site n’est pas là, nous ne pouvons cocher un nouveau rêve celui de nager avec les dauphins. Pas grâve, Yusuf nous promet la chambre locale si on revient !
Yusuf et son blackberry |
Une toute nouvelle voie. |
Taman National staff !!! |
L’inquiétude est maintenant réelle, nous allons essayer d’en savoir un peu plus.
... |
samedi 6 août 2011
Un premier pas au paradis
Eddy, un des habitants locaux embauché par les gardes nationaux, nous propose de louer un scooter pour visiter l’ile. C’est donc avec Fred qu’ils partent en quête du véhicule pendant que Tom continue la discussion sur l’arrivée de plus en plus massive de touristes sur l’ile. Nous voilà ainsi partis à la découverte de l’ile de karimunjava, chevauchant notre fougueux destrier à 4 vitesses, cheveux au vent et les mirettes émerveillées.
Trente minutes de traversées de hameaux de pécheurs et autres cueilleurs de noix de coco plus tard, nous décidons de suivre un petit chemin de terre qui semble mener à une plage. Bingo, nous tombons sur une crique de sable blancs, bordée par les cocotiers sur la gauche et la mangrove sur la droite.
Au milieu, une barque de pécheur dormant sur le flanc avec 30 cm d’une eau de mer à 28°C. Au large, nous apercevons une ile sur laquelle ont été construites deux superbes villas. Des pontons de pécheurs bordent la crique de sable blanc. Nous flânons quelques dizaines de minute, entre émerveillement et incompréhension… Certains endroits de la plage sont jonchés de déchets plastics. Nous continuons notre route sur notre fidele et désormais dompté destrier.
vendredi 5 août 2011
Colère et impuissance
jeudi 4 août 2011
D'autres sciècles (to be continued)
mercredi 3 août 2011
D’autres siècles
Nous trouvons un bus pour le Kraton (quartier du sultan, 25 000 personnes y vivent dont plus de 1000 sont à son service, de génération en génération et la majorité de plus de 50 ans). Le quartier présente une quiétude dont nous n’avions pas l’habitude et nous tombons sous le charme. L’architecture hollando javanaise du temple est surprenante, tout comme les statues, qui même si elles sont parfaitement identiques, ont une signification particulière selon leur orientation… nous découvrons également une extraordinaire collection de… chaussettes, boutons de manchettes et de couvercles de théières… les batiks, vêtements aux motifs traditionnels, dont chaque personnage important semble avoir un exemplaire unique sont également exposés.
Apres avoir compris que le spectacle de danse traditionnel était annulé pour cause de ramadan (qui commence le lendemain) nous partons en quête du marché aux oiseaux. Nous tombons en premier sur le temple dédié à l’eau, une magnifique entrée ainsi qu’un beau et surprenant bassin derrière les escaliers. Cependant la visite s’arrêtera là, le chemin nous conduit vers la sortie. Apres quelques centaines de mètres sur l’artère principale, nous prenons une petite traverse parallèle et cheminons entre les habitations. L’endroit est calme et magnifique. Nous apprécions vraiment cette partie de l’Indonésie qui contraste tellement avec ce qu’il se passe 20 mètres à côté.
Le marché aux oiseaux… les premières cages contenaient quelques jolis petits oiseaux colorés et puis, petit à petit les cages se sont remplies jusqu’à arriver à l’immondice… Près d’une centaine d’oiseau dans une même boite ayant juste la place de se déplacer. D’autres animaux étaient également en captivité tel que boa, anaconda ou singes.
Non, ils n'ont pas été peints comme nous le pensions au premier coup d’œil...
Protégé l’espèce? Oui, bien sur, protégé par la cage!!!
Nous repartons un peu dégoutés. Cet après midi, nous avons rendez vous avec une amie de Peta qui doit nous montrer une des merveilles de l’Indonésie, les temples de Prambanan, inscrits au patrimoine mondiale de l’UNESCO. Des merveilles de constructions en pierres de tailles, sans mortier et dont chaque pierre est finement gravée de statues ou de scènes diverses.
Suite au tremblement de terre de 2006 certaines parties du temple ont été ravagées
Nous finirons la journée épuisés mais vraiment heureux de ce que nous avons vus. Une chambre climatisée pour 2 avec eau chaude dans la douche (250 000rps ou 20 €). A oui, petit problème de la journée, l’appareil photo n’a plus voulu en prendre vers la fin de la visite du temple (les n° de photo étaient arrivé au maximum, rien à faire, on à tout essayé, il faudra acheter une autre carte demain). Nous ne mettons pour l'instant que des photo tirées sur google.
Sorry and see you soon
samedi 30 juillet 2011
mercredi 27 juillet 2011
Délires d'autres mondes
Nous voila donc repartis pour du design et de la réflexion sur notre projet. En effet, la barrière de la langue nous a fait mal interpréter les commentaires de nos dirigeants. En tout cas, après une longue discussion concernant notre ressentis quand au projet, à été convenu que nous devions re-designer les supports de culture de la désormais connue Tetrastigma et de la main way qui, si elle ne nous semble plus utile dans ces conditions, doit quand même faire partie intégrante du projet.
Le deuxième point de discussion concernait notre stage et plus particulièrement notre prochain projet. Depuis quelques jours nous faisions de l’appel du pied pour aller visiter les parcs nationaux, dont celui d’Ujung Kulon (ambiance plage de sable fin et rhinocéros sur la berge d’en face). Nous devons pour cela prendre en charge les déplacements, ce qui nous conviendrait à condition de quitter notre appartement car notre budget se rétrécit de jours en jours.
Qu’à cela ne tienne, nous rédigeons notre programme avec nos estimations de coûts et nous l’envoyons à Ibu Tino. Nous aurons la réponse bientôt.
En attendant, c’est reparti pour sketchup. Ces longues heures passées à se prendre la tête sur le fonctionnement du logiciel n’auront finalement pas été vaines puisque nous maitrisons désormais une bonne partie des outils. Tom à été officiellement surnommé le « geeker » par Fred car celui-ci est capable de passer la journée sans décrocher de son écran. Quand on voit le résultat, on comprend.
Notre projet avance à grands pas et nous pensons pouvoir le clôturer en cette fin de semaine.
D’autres pensées :
Non… Ce mot est bien court, il est pourtant fort de signification. Ses conséquences peuvent parfois être lourdes à porter. Il signifie le refus, la prise de partis, la volonté d’imposer son idée. Cela peut paraitre simple dit comme ça, il nous semble cependant que beaucoup de gens ne savent pas l’employer. Particulièrement les indonésiens. Nous développerons ce point dans un autre message.